Que penser d'une commune qui perd 5 000 âmes entre le camp et la gare. En fait elle omet 5 000 non patriotes mais juifs, tziganes,... qui sont partis souffrir comme les patriotes.
 
 

 

Que penser d'une commune qui 50 ans plus tard pense à garder 2 ha d'un ancien camp militaire, pour en faire un lieu de mémoire, et qui s'occupe bien de revaloriser le reste du camp pour un petit coup dans l'immobilier. Un grand espace vert de mémoire, pour ceux qui sont partis d'ici et jamais revenus, aurait sûrement rappelé aux visiteurs la grandeur de la connerie humaine.

 

 

 

 

 
   
 
Ils passèrent quelques nuits dans les bâtiments de ce camp de regroupement, avant de partir pour un voyage sans retour pour une très grande partie d'entre eux.
 
 

 

Je pense que cette commune a eu du mal à perpétuer son travail de mémoire et qu'elle privilégie le poilitique, le financier à l'historique.

 

 

 

Moi-même j'aurai dû mettre en image fixe le monument des 53.000 et non des 48.000